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Impacts à long terme du changement climatique sur le littoral métropolitain

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Etudes&Documents n°55.jpg

Cette page est extraite du document "Impact à long terme du changement climatique sur le littoral métropolitain" paru sous le n°55 (octobre 2011) de la série Etudes & Documents publiée par le Commissariat Général au Développement Durable (CGDD) du ministère en charge du développement durable. Il constitue un état des lieux scientifique très synthétique conduit par la mission prospective du CGDD qui a mis à contibutions plusieurs personnalités du ministère.

WIKHYDRO a choisi de publier ce document en l'éclatant en plusieurs pages interactives. Le document est dispoble en version électronique complète sur le site du CGDD.

Sommaire

Table des matières de l'ouvrage "impact du changement climatique sur le littoral métropolitain"

Une quinzaine de pages WIKHYDRO reprennent les fiches de l'ouvrage de base, qui font le point des connaissances liées :

  • aux phénomènes climatiques et physiques généraux (température, régime des tempêtes, précipitations, stratification marine) dont la transformation progressive est en partie tributaire du changement climatique ;
  • aux effets physiques induits possibles (élévation du niveau de la mer, courants marins, vagues et surcotes, régime des fleuves et des apports sédimentaires) susceptibles d’avoir un impact sur le littoral ;
  • aux effets induits sur les milieux marins, côtiers et littoraux (submersions marines, érosion-accrétion, acidification, salinisation, invasions biologiques, nouvelles toxicités).

Ces fiches sont classées en trois chapitres qui correspondent à cette logique de présentation :

  • ce que l’on constate actuellement ;
  • ce qui pourrait se passer ;
  • les effets possibles sur les milieux et les impacts majeurs sur les territoires littoraux et les activités humaines.

Une troisième série de fiches porte sur les effets et impactsdu changement climatique sur le littoral. Elle est très peu développée, essentiellement parce qu’il est très difficile, à partir d’une compréhension générale des phénomènes, de définir à des échelles locales des impacts potentiels sur les activités humaines et les territoires. En outre les tendances climatiques pouvant être positives comme négatives, les impacts peuvent être d’une nature ou d’un autre selon les lieux. Ce dictionnaire se veut donc rester généraliste, de sorte à inciter les échelons territoriaux locaux à s’emparer de la question des menaces du changement climatique sur leur propre territoire, qui seront par nature spécifiques. Par ailleurs, s’agissant d’un outil conçu pour ceux qui engagent une prospective territorialisée du risque, le choix à été fait de ne présenter que des effets négatifs des évolutions climatiques sur les dynamiques territoriales et sur les activités anthropiques, car ces aspects demandent potentiellement davantage d’attention que les effets positifs (accrétion des plages, diminution de la fréquence et de l’intensité des orages saisonniers, apparition de nouvelles zones humides…), du moins sont-ils à considérer en priorité.
La complexité des mécanismes impose beaucoup de prudence dans la prévision des impacts à attendre du changement climatique aux échelles locales. Elle sous-entend également une multitude d’effets indirects, dont seuls quelques exemples seront succinctement présentés pour certaines fiches. Ainsi, la partie « effets possibles sur les milieux et impacts possibles sur les territoires littoraux et les activités humaines » donne au mieux une idée de la gamme des possibles sans aucune prétention à l’exhaustivité.

Les études de prospective, à différentes échelles territoriales, spécifiques aux enjeux et aux risques induits par le changement climatique, doivent permettre de retracer la chaîne d’impacts, depuis les phénomènes qui risquent de se conjuguer jusqu’à leurs conséquences sur les activités humaines. De telles méthodes nécessitent ainsi un croisement de disciplines scientifiques (climatologie, océanographie, géomorphologie, économie, sociologie, géographie…). Tous ceux qui souhaitent engager des politiques d’anticipation et d’adaptation ont besoin de cette connaissance pluridisciplinaire organisée comme un socle scientifique à adapter à chaque situation géographique, économique et environnementale.

Phénomènes physiques globaux

Effets physiques

Effets sur les milieux

  • Submersions marines
  • Erosion - accrétion
  • Acidifcation de l'océan
  • Accentuation de la salinisation des eaux souterraines littorales
  • Modification de la composation des communautés biotiques
  • Invasions biologiques
  • Nouvelles toxicité pour l'homme

Le changement climatique, nouvelle dimension du développement durable des territoires littoraux

Avec 7 000 kilomètres de côte pour la seule métropole – et le deuxième espace maritime mondial du fait de ses territoires ultramarins – la France est particulièrement concernée par toutes les évolutions qui concernent ou vont affecter le littoral. Espaces exceptionnellement denses1, d’une grande richesse écologique, plus vulnérables et convoités que d’autres, les territoires littoraux sont d’ores et déjà un enjeu majeur de développement durable pour notre pays. Cela sera encore plus le cas demain avec la perspective attendue d’installation dans les départements littoraux de plus de quatre millions d’habitants supplémentaires d’ici 2040 et le développement prévisible de nouvelles activités liées à l’urbanisation, au tourisme, aux énergies renouvelables, à l’aquaculture, au transport maritime…
C’est dans ce contexte de forte croissance démographique et économique qu’il faut d’ores et déjà anticiper un autre facteur de perturbation et d’évolution – appelé lui aussi à jouer un rôle majeur – qui est le changement climatique. Depuis des évènements comme la tempête XYNTHIA, en février 2010, venant après beaucoup d’autres, on sait que les espaces littoraux sont particulièrement exposés à des risques naturels majeurs. Ce que nous disent les scientifiques, et en particulier ceux du GIEC, c’est que le changement climatique va sensiblement amplifier ce potentiel de risques : la montée du niveau moyen des mers, des houles plus fréquentes et plus fortes, le réchauffement et l’acidification des océans, la modification des courants marins … auront pour effet une accélération du recul de certaines parties du littoral, des submersions plus fréquentes, une fragilisation des cordons dunaires et des ouvrages de protection, une dégradation des écosystèmes maritimes et côtiers… Et tout cela aura naturellement des répercussions non négligeables sur les dynamiques de développement de ces territoires.

Même s’il existe aujourd’hui encore beaucoup d’incertitudes sur le rythme de modification future des climats – et surtout sur les manifestations locales des phénomènes climatiques à venir – les connaissances ont cependant suffisamment progressés pour que l’on puisse sans attendre commencer à intégrer la variable climatique dans la prospective territoriale. C’est la perspective dans laquelle se situe le présent ouvrage ; et à laquelle il apporte une contribution à ce stade très modeste : faire un état des lieux des savoirs scientifiques sur les risques naturels auxquels sont exposés les espaces littoraux et sur les conséquences physiques attendues liées au changement climatique. Si le document apporte en lui-même peu d’informations sur la géographie des phénomènes concernés son originalité est de croiser le regard de plusieurs disciplines et d’associer les résultats de travaux menés souvent de manière cloisonnée… par les différents organismes de recherche publique français (BRGM, CEMAGREF, IFREMER, CETMEF, INRA…).


Prendre en compte l’interdépendance des phénomènes

Les risques pour le littoral sont d’autant plus difficiles à prévoir que les phénomènes sont interdépendants et leurs effets se combinent : une élévation du niveau marin peut, par exemple, se conjuguer avec des survenues de tempêtes et des phénomènes de forte marée. Ce sont ces combinaisons de phénomènes qui vont configurer les menaces de submersion, d’érosion et de salinisation des sols et des aquifères, qui constituent les trois principales conséquences de l’élévation du niveau de la mer. La conjugaison de
ces menaces induira des impacts sur les milieux marins et littoraux, sur les ressources (eau, espace, biodiversité…), et enfin sur les activités humaines qui en dépendent. Il existe donc une chaîne d’impacts très active qui explique pourquoi les grandes tendances climatiques (température, précipitation, niveau de la mer) menacent la vie des hommes sur les littoraux du monde et, en ce qui nous concerne ici, de France métropolitaine.
Une telle situation, combinée avec les incertitudes économiques et démographiques, induit un besoin de travaux de prospective territoriale, pour apprécier les risques potentiels et se prémunir de leurs conséquences. Il faut être informé, partager les connaissances, se projeter dans l’avenir et envisager les menaces futures pour faire la part des choses entre ce qui est indispensable, acceptable, souhaitable et réaliste. Le développement d’une prospective territoriale comme approche systémique des risques climatiques va s’imposer de plus en plus comme une nécessité autour des questions : quels phénomènes surviendront ? Avec quels effets sur les territoires littoraux en général, et sur les plus vulnérables en particulier ?


Une contribution au programme « Territoires durables 2030 »

Cet état des lieux scientifique sur le thème « changement climatique et littoral » contribue en partie à l’élaboration du programme que mène depuis 2009 la Mission Prospective du Ministère en charge du Développement Durable sur le thème « Territoires durables 2030 ». L’objet général du programme est de s’interroger sur la « durabilité » ou la « non durabilité » des évolutions du territoire français – et de ses composantes – à l’horizon 2030. A côté de la construction de scénarios transversaux, le choix a été fait de porter un regard spécifique sur quelques enjeux majeurs du développement durable territorial : la ville, les écosystèmes aquatiques, la biodiversité, … et le littoral.
Bien que la prospective du littoral français ne se réduise pas aux seules conséquences du changement climatique, c’en est une des dimensions les plus déterminantes à long terme. Les études de prospective, à différentes échelles territoriales, spécifiques aux enjeux et aux risques induits par le changement climatique, doivent permettre de retracer la chaîne d’impacts – depuis les phénomènes qui risquent de se conjuguer jusqu’à leurs conséquences sur les activités humaines.
De telles méthodes nécessitent ainsi un croisement de disciplines scientifiques (climatologie, océanographie, géomorphologie, économie, sociologie, géographie…) et tous ceux qui souhaitent engager des politiques d’anticipation et d’adaptation ont besoin de cette connaissance pluridisciplinaire organisée comme un socle scientifique à adapter à chaque situation géographique, économique et environnementale.
L’ouvrage a été conçu comme un outil à destination des responsables et acteurs locaux et régionaux confrontés à ces enjeux et qui engagent des exercices de
prospective territoriale. Il donne des connaissances scientifiques de base et précise les domaines à approfondir et à explorer à l’occasion des études territoriales ou locales.


ANNEXE : rappel des travaux du GIEC

Nous rappelons ici de manière très succincte la trame des travaux du GIEC, de manière à resituer le contexte des travaux réalisés dans cette étude.
Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC, ou IPCC en anglais pour Intergouvernemental Panel on Climat Change) créé en 1988, produit régulièrement une évaluation de l’état du climat de la planète, ainsi que de son évolution, et des impacts qui en découlent, en fonction des trajectoires socioéconomiques
que choisiront nos sociétés. Ce travail se base sur une étude exhaustive de l’ensemble de la littérature scientifique produite.
Le développement des activités humaines s’est fondé sur l’utilisation massive des énergies fossiles, dont la combustion rejette dans l’atmosphère des gaz à effet de serre (GES). Ces GES ont la particularité d’avoir une très longue durée de vie dans l’atmosphère (par exemple, le dioxyde de carbone (CO2) ne disparaît de l’atmosphère que
par absorption dans la biosphère terrestre et marine par le processus de photosynthèse). Rapidement homogénéisés dans les basses couches de l’atmosphère, ces gaz y exercent un effet durable puisqu’ils ont la particularité d’interagir avec le rayonnement de grande longueur d’onde, dans l’infra rouge. Ils piègent une partie de l’énergie émise par la surface terrestre et les basses couches de l’atmosphère vers l’espace. Ce mécanisme de réchauffement dû au piégeage de l’énergie dans la gamme infrarouge, est indispensable à la vie terrestre telle que nous la connaissons, et se fait naturellement par la vapeur d’eau et un grand nombre d’autres gaz présents à l’état de trace dans l’atmosphère.
Cependant, l’excès des GES lié aux activités humaines a considérablement accru la concentration de gaz à longue durée de vie comme le dioxyde de carbone ou le méthane (la concentration en CO2 a atteint 383.1 ppm (partie par million) ce qui, par rapport au niveau préindustriel de 250 ppm en 1750 représente une augmentation de 37 %) [1]
et a provoqué le réchauffement généralisé de la surface de la planète, sur continent et océan, dont nous percevons les premières conséquences. L’énergie piégée par cet excès de GES est de l’ordre de 1 % de l’énergie que nous recevons de soleil, ce qui est une perturbation considérable.
La consommation des énergies fossiles dans les secteurs d’activité de transport, de production industrielle, d’énergie domestique, est la première source des gaz à effet de serre mais d’autres activités contribuent à cette situation comme le changement d’utilisation des sols, le développement de l’agriculture intensive, de l’élevage et de la
riziculture (source de production de méthane en particulier), L’état des lieux sur les conditions climatiques terrestres en 2005 est présenté dans le 4ème rapport d’évaluation du GIEC [2].
Les rapports du GIEC ne se contentent pas d’une évaluation de la situation actuelle mais ils essaient également d’analyser les trajectoires socio-économiques de nos sociétés et les conséquences de chacune d’elles en termes d’émission de GES et de climat pour la planète.
Lors du 4ème rapport (et des rapports précédents), la stratégie suivie était de s’appuyer sur une synthèse des travaux en modélisation économique qui conduisait à définir un ensemble de scénarios d’évolution possible (appelés les scénarios SRES) qui proposaient une évolution en termes d’émission de GES. Ces émissions de GES étaient ensuite transformées en concentration de GES par un modèle du cycle du carbone. Ces concentrations servaient ensuite à imposer une contrainte externe à un modèle d’évolution du climat d’échelle planétaire. Connaissant les conditions climatiques d’échelle planétaire, on pouvait travailler sur les variations climatiques à l’échelle sous-continentale en utilisant des méthodes de descente d’échelle.
La démarche de projection s’appuie sur deux grandes catégories de modèles :
– Des modèles d’évolution du climat : ces modèles sont fondés sur des lois physiques prenant en compte les principaux éléments du système climatique (atmosphère, océan, terres émergées, cryosphère et biosphère) ainsi que les processus qui se manifestent dans et entre ces divers éléments. Les modèles globaux ont une maille de l’ordre de 250 km. Depuis quelques années, les projections ont été affinées avec des modèles climatiques régionaux ou des méthodes statistiques permettant de produire des informations sur la variabilité jusqu’aux échelles sous-continentales pour des échelles de temps allant des grands événements météorologiques à la décennie.
– Des scenarii d’émission de gaz à effet de serre (Rapport spécial sur les scénarios d’émissions – RSSE, 2000) prenant en compte plusieurs critères : variations démographiques, développement socio-économique, degrés d’évolution technologique et de choix en matière d’énergie (fossile, renouvelable…), et rapports à la mondialisation.

Ces six scénarii sont les suivants :
Scénarios A1. Trois scénarios sont regroupés sous cette famille. Caractéristiques décrites : une croissance économique très rapide ; une population globale qui plafonne en 2050 ; l’introduction rapide de technologies plus efficientes ; les grandes régions du monde convergent économiquement et interagissent fortement. Les trois scénarios se distinguent par l’intensité technologique de leur secteur énergétique : très intensif en ressources fossiles (A1FI), recours rapide et exclusif à des sources non-fossiles (A1T) ou mix énergétique équilibré (A1B) ;
Scénario A2. Le monde est très hétérogène (affaiblissement du mouvement de mondialisation), la population globale croit constamment et la croissance économique comme le changement technologique sont fragmentés et lents ;
Scénario B1. Les régions du monde convergent rapidement, la population mondiale plafonne en 2050, et la structure économique se tourne rapidement vers une économie de service et d’information (moins intensive matériellement et plus efficace énergétiquement) et un développement durable global ;
Scénario B2. La population mondiale est en croissance continue, le développement économique et le changement technologique sont à des niveaux intermédiaires, et la recherche d’un développement durable se fait à un niveau plus local.


La démarche qui sera suivie pour l’analyse de trajectoires futures lors du 5ème rapport du GIEC est d’une nature différente. Un ensemble de trajectoires pour l’évolution des concentrations en GES va être proposé, ce qui correspond à un objectif politique. Compte tenu de ces trajectoires imposées, les équipes travaillant sur les modèles économiques essaieront de déterminer les choix à faire en termes de développement socio-économique pour atteindre une trajectoire imposée, alors que les climatologues quant à eux travailleront à décrire les conditions climatiques et les impacts liés à chaque trajectoire. Les deux groupes travailleront donc en parallèle, afin de documenter les choix de trajectoires encore possibles.

Bibliographie

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