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Site de la Clapière, Alpes-Maritimes

De Wikigeotech

Sommaire

Contexte

Le présent document est établi à la demande de la Direction Générale de la Prévention des Risques (DGPR) dans le cadre d’un diagnostic intégré et dynamique des sources de vulnérabilité et de résilience pour le territoire. Il constitue un recueil des bonnes pratiques et des difficultés rencontrées par les acteurs du territoire dans le cadre de la gestion d’un risque naturel de grande ampleur, avenu, ou susceptible de se produire.

Le présent rapport concerne la gestion du risque de glissement et d’éboulement en masse (50 millions de m3 environ) sur le site de la Clapière, situé en territoire montagneux dans le Parc National du Mercantour. Le territoire de vulnérabilité et de résilience étant constitué en quasi-totalité par la commune de Saint-Etienne-de-Tinée, c’est en particulier sur cette commune que la présente étude a été menée.

Présentation du territoire

Localisé dans le Parc National du Mercantour, le site de La Clapière se situe dans le département des Alpes-Maritimes, à 90km de Nice environ, dans la vallée alluviale de la Tinée, en aval du village Saint-Etienne-de-Tinée, chef-lieu du canton. Situé à la frontière Italienne au nord du Département, la commune de Saint Etienne de Tinée s'étend aujourd'hui sur 17 381 hectares à 1140 mètres d'altitude.

Sur le territoire de la Commune se situe la station de sports d’hiver d’Auron, desservie à partir de Saint-Etienne-de-Tinée dont l’activité est en lien étroit avec le marché de l’emploi, les capacités d’hébergement et les petits commerces du village de Saint Etienne de Tinée.


Situation géographique de la vallée de la Tinée et de Saint-Etienne-de-Tinée.bmp

  Situation géographique de la vallée de la Tinée et de Saint-Etienne-de-Tinée


Le village de Saint –Etienne –de-Tinée est relié par le réseau de transport :

Au Sud :

  • Par la M39 et la M22051 à Auron, Drogon et ISOLA.
  • Par le téléphérique depuis 1988 à la station de ski d’Auron,

Au Nord vers Saint Damas de Selvage ou Gueniers :

  • Par la route de Saint Dalmas M2205

Présentation de l'évènement

A 800 m en aval de St Etienne de Tinée, le glissement de la Clapière est constitué par un volume de l’ordre de 50 millions de mètres cubes de matériaux rocheux (migmatites hercyniennes) en mouvement permanent depuis plusieurs décennies. Il couvre une centaine d’hectares, sur 1000m de largeur entre 1100 et 1800 m d’altitude, à la base d’un versant qui culmine à 3000 mètres.

Le glissement de la Clapière est en fait une association complexe de mouvements d’ensembles rocheux, qui comportent chacun leur dynamique et cinématique propre. En dehors du déplacement en masse, le site alimente des éboulements rocheux à cinématique rapide et une progression du pied de versant qui repousse continûment le lit de la rivière ; la rive droite est désormais érodée à chaque forte crue.

Plan de situation du glissement de La Clapière (LRPC Nice).bmp Coupe en travers de la vallée de la Tinée avec, à droite, le glissement de la Clapière.bmp

  Plan de situation du glissement de La Clapière - LRPC Nice
  Coupe en travers de la vallée de la Tinée avec, à droite, le glissement de la Clapière - CETE Méditerranée


Le phénomène actuel, probablement initialisé au début du XX° siècle continue de se développer en mobilisant une régression vers l’amont du versant : un glissement supérieur, d’environ 5 millions de mètres cubes s’est ainsi surimposé au glissement principal. Les travaux de recherche ont démontré qu’après le retrait du glacier Würm, et la décompression qui en résulte, le versant a montré ses premières traces d’évolution il y a 10 000 ans et La Clapière, elle-même, paraitrait s’être individualisée en tant que glissement il y a 3 000 ans (S. El Bedoui, 2008).

Problématiques majeures retenues

Des phénomènes ponctuels se traduisent par des chutes de blocs de taille variable ou des glissements en masse assez fréquents et de volumes importants. Certaines hypothèses d’évolution, avancées dans les années 1980 (rupture d’ensemble brutale avec glissement de l’ensemble de la masse instable), ont été écartées par le Comité d’Experts , pour ne retenir qu’un scénario plausible : le glissement d’ensemble lent.

Ainsi les deux phénomènes envisagés dans le cadre du glissement de versant de La Clapière sont :

  • les glissements en masse,
  • les chutes de blocs ou éboulement.

Le versant tend, à long terme, à se stabiliser dans une position d’équilibre, non encore atteinte aujourd’hui. La masse glissée pourrait cependant se stocker en pied de versant conduisant éventuellement à l’obturation du lit de la Tinée. Ce phénomène pourrait engendrer une inondation en amont jusqu’à la cote du tunnel de dérivation qui permettrait l’évacuation de l’eau. Les études menées sur le versant de La Clapière et le suivi en continu de ce phénomène conduisent à de faibles incertitudes quant à l’évolution du phénomène et ses potentielles conséquences.

Les seules incertitudes subsistant relativement aux études menées sur le versant de La Clapière concernent :

  • la profondeur de la surface de glissement compte tenu de l’absence de sondage, et/ou de campagne géophysique fiable. Elle est estimée indirectement, par l’étude statistique des vecteurs de déplacement, à 100-150m d’épaisseur dans la partie centrale du glissement.
  • la délimitation à long terme de la zone réceptrice des matériaux éboulés liée à l’évolution de la topographie du site a été prise en compte par un zonage sécuritaire.

Les mesures préventives sont de ce fait adaptées au contexte, à la nature et au niveau de l’aléa ainsi qu’aux enjeux en présence sur le territoire.

Enjeux et vulnérabilités du territoire

Les enjeux sur le territoire de Saint Etienne de Tinée sont essentiellement les suivants :

  • des habitats collectifs et diffus (résidences isolées, granges). Dans la zone classée inconstructible, ces habitations sont vouées à l’abandon et aucune construction nouvelle n’est entreprise.
  • des bâtis d’entreprises, d’industries, de structures de service, d’éducation et de santé sont susceptibles d’être directement concernées à moyen ou long terme par les éboulements / glissements. Des complexes sportifs et de loisir, situés en zone rouge du PPR, particulièrement vulnérables (stade de foot) ont été déplacés en 1993.

Indirectement, la réalisation de la RD39 a eu pour conséquence l’enclavement du village de Saint Etienne de Tinée (dans l’attente de la compensation par la mise en service du téléphérique). En effet, les touristes ne transitent plus par le village pour se rendre à la station de ski d’Auron dès 1987. Les activités économiques de tourisme saisonnier et activités de service dans le village, en particulier les petits commerces, sembleraient en avoir souffert.

Sur le plan environnemental, les enjeux se situent a priori essentiellement au niveau de la vallée alluviale qui constitue, en tant que telle, une zone humide à préserver avec l’écosystème aquatique qui lui est rattaché. En lien avec cet écosystème, l’activité de pêche, en tant que loisir, représente un enjeu d’importance pour la commune et la Haute Tinée.

La population locale ne se perçoit pas comme vulnérable (sauf économiquement). La Clapière ayant toujours été le lieu de chute de blocs, le risque est depuis toujours considéré comme étant intégré, d’après la mairesse de Saint-Etienne de Tinée (« La Clapière c’est nous »). Les touristes, en revanche, seraient davantage sensibles à ce risque, dont une communication est régulièrement faite chaque début d’été par le journal Nice Matin au grand dam des Stéphanois qui le perçoivent comme un facteur de réduction de l’activité touristique (une communication sur ce sujet à une telle fréquence est perçue comme abusive).

Plan de secours et gestion de crise

Le document intitulé « Mouvement de Terrain de la Clapière - Plan de secours spécialisé» a été approuvé par le Préfet le 21 juillet 1997. Il précise en cas de crise le rôle des différents acteurs impliqués sur le territoire, les moyens d’actions et de communication à mettre en œuvre afin d’assurer la mise en sécurité des biens et des personnes. Ce plan a vocation à anticiper le fonctionnement de la communauté dans la vallée de Saint-Etienne de Tinée après l’avènement du scénario le plus défavorable. Contenu du plan de secours spécialisé :

  • Procédure d’alerte avant le glissement
  • Procédure d’alerte après le glissement
  • Répartition des missions / du rôle de chaque service, personnes ressources et contacts
  • Moyens (d’évacuation de la population, de déblaiement et de pompage, de secours, d’hébergement, de ravitaillement, de dépannage des véhicules).
  • Information et communication : En cas de crise, le plan prévoit la mise en place de moyens de communication et d’information tant auprès de la population que des médias et des autorités (notamment à travers la mise en place de cellules spécialisées).

Le plan de secours s’appuie, sur trois étapes :

  • La surveillance qui comprend l’instrumentation, la mesure des déplacements et l’interprétation des déplacements de cibles en vitesses de déplacement et accélérations.
  • L’expertise qui, dans le cas où les seuils d’alerte sont atteints est mobilisée afin d’établir un diagnostic du niveau d’alerte et des moyens techniques adaptés à mettre en œuvre pour la sécurité des personnes et éventuellement des aménagements.
  • La décision du déclenchement de l’alerte et du plan ORSEC si nécessaire. La décision est prise au niveau préfectoral sur la base des éléments de coûts apportés par la DDTM relativement aux différentes solutions proposées par les experts.

Actions menées en faveur de la résilience territoriale

Mesures préventives

De nombreuses mesures ont été mises en œuvre en anticipation de l’avènement d’un glissement de grande ampleur afin de protéger la population et de limiter l’ampleur des conséquences subies :

  • la mise en place d’un Plan de secours (ORSEC) – Expropriation : réalisé très tôt dans la gestion du phénomène, le plan ORSEC prescrit le rôle de chacun, les seuils de vigilance et d’alerte et les mesures de protection civile qui leur sont associés. Complémentairement à cette mesure, il a également été défini, par arrêté préfectoral, une zone d’interdiction de pénétrer dans le glissement de versant. Dans cette zone, la loi n° 95-101 du 2 février 1995 (expropriation) a été appliquée (enquête publique en 1997).
  • la mise en place d’un Plan de prévention des risques – PPR – POS : la carte de constructibilité actuelle prend en compte la zone du glissement actif, la zone de réception du (ou des) glissement (s) et des éboulements qui sont recensées comme zones d’aléa majeur sans possibilité d’aménagement. La zone de propagation vraisemblable du phénomène « à 50 ans » est recensée en aléa de grande ampleur où la construction est interdite mais ou certains aménagements sont possibles. Une grande partie de la rive droite est désormais constructible.
  • la construction de la Galerie de dérivation de la rivière : réalisée dans les années 1990, pour limiter les effets dévastateurs d’un comblement de la vallée par le glissement. Ce tunnel, réalisé en rive droite, depuis le village jusqu’à un exutoire à 2400 m en aval, est constitué d’un tube recouvert de béton (diamètre 4,5 m) et d’un ouvrage d’entonnement à l’amont. A partir de 1999 l’entonnement du tunnel est réhabilité pour ne dévier qu’une partie des eaux de la Tinée en cas de crue ou de submersion consécutive au glissement du versant de la Clapière.
  • le déplacement des réseaux électrique et téléphonique dès 1984, afin qu’ils ne subissent pas de dommages.


Mesures curatives

Les mesures curatives ont été nombreuses malgré l’anticipation par mesures préventives afin d’assurer le moins de dommages possibles aux biens matériels et aux personnes :

  • La route départementale RD 2205: située au pied du glissement en rive gauche de la Tinée permettait de rejoindre le village par le Pont de la Belloire. Cette voie d’accès au village, fortement exposée (dans la zone à risque maximal) et en cours de dégradation, a été d’abord protégée en 1982 par des merlons (pièges à blocs), rapidement comblés. Dans le même temps, le tracé de la voie est déplacé vers le lit de la Tinée ce qui a nécessité alors le remblaiement d’une partie de la rive gauche du cours d’eau (100 000m3 de matériaux).
  • Déviation d’itinéraire du RD 39 en 1986 : cette mesure curative (déviation et protection de la route) n’était pas pérenne, le nouveau tracé de la RD 2205 étant toujours situé dans la zone à risque et continuant de subir des dégradations liés aux éboulements. Différents tracés sont alors envisagés pour établir une nouvelle voie d’accès (RD39) vers le village. En 1985, le tracé de la RD39, est retenu en rive droite de la Tinée. L’accès au village a dû être ainsi dévié dès la fin des années 1980, en deux phases, avec une déviation provisoire empruntant le fond de la vallée pour rejoindre le Pont de Belloire, puis avec une déviation définitive, par construction d’un nouveau pont en aval de la vallée et le passage de la route en rive droite. Le nouvel itinéraire (RD39) est mis en service à la fin de l’année 1986, après 8 mois de travaux et l’ancienne RD 2205, définitivement fermée.
  • Reconstruction du stade de foot aménagé en 1993 après que l’ancien stade ait été abandonné car situé dans la zone à risque maximal.
  • Fermeture de la décharge municipale (décharge sauvage) située dans la zone à risque maximal. En 1998 elle a été remplacée par une déchetterie intercommunale à Isola.


Résilience territoriale

Dans le cas de Saint-Etienne de Tinée, l’augmentation de résilience passe par la compensation des pertes économiques en lien avec les activités de loisir (liaison avec la station de ski d’Auron, stade de foot, pêche etc.) et le déplacement de structures fonctionnelles pour le territoire (décharge, station d’épuration) dans des sites situés en dehors des zones à risques.

L’une des mesures compensatoires phare, envisagée en concertation avec la Commune et financée par le Conseil Général, fut la réalisation d’un téléphérique permettant de rétablir un lien direct entre Saint-Etienne-de Tinée et la station de ski d’Auron. En effet, antérieurement à la déviation d’itinéraire de la RD 39, le village de Saint-Etienne-de-Tinée constituait une étape incontournable pour se rendre à la station de ski d’Auron. L’économie du village s’appuyait donc en partie sur une activité touristique hivernale (logement et approvisionnement des touristes). A la fin des années 80, la RD 2205 est mise hors service et est remplacée par la RD39, construite en rive droite de la Tinée ; Ces modifications des voies de communication conduisent les touristes souhaitant se rendre à la station de ski, à ne plus passer par le village de Saint-Etienne-de-Tinée, ce qui met en péril l’activité saisonnière de ce dernier. Pour palier la vulnérabilité de cette économie, le projet de téléphérique est envisagé dès 1986. Le téléphérique, inauguré puis mis en service depuis 1989, a nécessité un investissement du Conseil Général, complémentaire aux mesures déjà entreprises, estimé alors à 60 millions d’euros.

Enseignements

Le retour d’expérience concernant les différents acteurs et, en particulier, concernant les Stéphanois qui ont vécu la période de déclenchement de la « haute surveillance » du versant de la Clapière en 1987 est globalement positif, notamment du fait de la communication et de leur implication à différentes étapes :

  • Surveillance : les agents de la mairie effectuent eux-mêmes les mesures de déplacement jusqu’en 1995 (prise de conscience d’un risque éventuel facilitée).
  • Plan de secours : un élu ou un Stéphanois est identifié comme responsable d’un secteur de la commune en cas d’évacuation (contact des personnes dans sa zone d’action etc.)

Amont de la crise

L’acceptation par la population du risque et de ses impacts directs ou indirects est d’autant plus vite atteinte que des mesures compensatoires et des mesures de réduction sont mises en œuvre, en concertation avec l’ensemble des acteurs de territoire. L’accompagnement, la communication et l’implication des élus de la commune dans les étapes amont de la connaissance du phénomène et des mesures sont également primordiaux afin de recueillir au plus tôt les réactions de la population et d’intervenir en compensation au plus près des besoins exprimés.

Les points positifs, issus du retour d’expérience relatif au phénomène de la Clapière, ont été les suivants :

  • intégration du personnel de la mairie dans le système de mesure et de surveillance des déplacements du versant de la Clapière facilitant la prise de conscience du risque par les stéphanois,
  • moyens de prévention de type plan de secours avec une communication et information associées au plan.

La nécessité de mieux maîtriser la connaissance géotechnique d’un tel phénomène et surtout le paramètre hydrogéologique a rendu indispensable la collaboration (élaboration d’une convention) entre la DDE 06 et le CETE Méditerranée, d’une part et l’Université et le CNRS, d’autre part, afin de développer « un laboratoire de recherche » sur le site de la Clapière. La programmation des recherches et la communication des résultats est faite annuellement, si possible au cours de la réunion du comité d’experts.

Une capitalisation de ces données au niveau national et la participation à des programmes européens avec L’UNSA aident à la compréhension de phénomènes similaires susceptibles de se produire.

Gestion de la crise

Pour gérer le risque et la crise, les responsables de la sécurité publique ont besoin d’avis techniques judicieux et rapides. Dans un phénomène complexe et exceptionnel comme la Clapière, l’expertise des conseils conditionne la pertinence de ces avis et l’instance permanente et collégiale qui a été mis en place est essentielle : c’est elle qui confère aux avis la crédibilité indispensable pour affermir la conviction des décideurs, condition de réactions rapides et efficaces en cas d’urgence. L’efficacité des experts dépendra cependant largement de la qualité de leur information : celle-ci doit être accessible, synthétique, complète, impartiale et mise à jour régulièrement.

L’après-crise

  • La communication concernant la poursuite du suivi de l’évolution des déplacements dans le temps présente un intérêt, selon un élu stéphanois, pas seulement pour les habitants eux-mêmes (les stéphanois n’ayant pas d’appréhension quant au phénomène de La Clapière), mais pour rassurer les touristes qui pourraient avoir souvenir de la campagne d’information alarmiste menée sur La Clapière dans les années 90. Cette communication permettrait de rétablir une publicité favorable à l’économie liée au tourisme saisonnier.
  • La gestion des risques naturels de grande ampleur peut permettre un retour d’expérience et une capitalisation des données scientifiques (travaux de publications scientifiques dans le cadre de la convention Université – Ministère pour valorisation des résultats d’observation et de surveillance). Cette capitalisation permet d’une part d’atteindre une meilleure connaissance de ce types de phénomène et d’autre part une optimisation de la gestion du risque.
  • Pour les élus stéphanois, la révision du PPR (en 2007) et du PLU associé, suite à une meilleure appréhension du phénomène de glissement/éboulement a été très positive, car elle a permis une optimisation de la gestion du territoire en fonction du risque connu.
  • La prise en compte progressive des difficultés par les autorités régaliennes et locales, une communication des évènements avec transparence, ainsi que la recherche de solutions en concertation avec l’ensemble des acteurs ont contribué à instaurer à l’heure actuelle un climat général de sérénité.
  • Lors de la décision de mise en œuvre de mesures préventives ou curatives, il convient d’établir rapidement un diagnostic de l’impact de ces mesures sur le territoire (économie, démographie, etc.). Cela a été le cas sur la Clapière puisque la Chambre de Commerce et d’Industrie de Nice a réalisé dans l’urgence un courrier rendant les conclusions concernant l’étude sur une « Approche économique des retombées de la déviation du RD 2 205 en aval du village de Saint-Etienne-de-Tinée ».

Références

Fiche résumé réalisée par Adeline Bordais (CGDD-DRI) sous l’initiative et la relecture de Jean-Michel Tanguy (CGDD-DRI) ; à partir des travaux de la version complète de Elise Trielli (CETE Méditerranée). 26/08/2014.

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